
Philippe Etchebest vit dans une ferme isolée au cœur de la Dordogne
Quand les caméras s’éteignent et que les casseroles se taisent, Philippe Etchebest troque la toque pour les bottes. Direction un coin de paradis en Dordogne, où le chef retrouve calme, nature et chevaux.
Un refuge discret au cœur du Bergeracois
Loin des cuisines de Top Chef et de l’agitation bordelaise, Philippe Etchebest a trouvé son équilibre dans une ferme isolée, quelque part entre les collines du Bergeracois. C’est là, dans cette bâtisse entourée de prairies verdoyantes, qu’il vit avec son épouse Dominique et leur fils Oscar-Louis. Le chef y cultive une forme de sobriété heureuse, à mille lieues de la pression des plateaux télé et des restaurants étoilés.
Cette ferme, acquise en toute discrétion, lui sert de bulle de déconnexion. Ici, pas de réseau, pas de bruit. Juste le chant des oiseaux, le souffle du vent et la présence rassurante de ses animaux.
Des chevaux, un chien, et beaucoup de sérénité
Dans ce décor champêtre, deux chevaux partagent son quotidien, véritables compagnons de route. Il y a aussi un chien fidèle, qui veille au grain comme un vieux complice. Pour Etchebest, ces animaux ne sont pas de simples présences : ils incarnent une relation sincère, où aucune posture ne tient. « Les animaux ne mentent pas », confie-t-il souvent. Et dans cette sincérité silencieuse, le chef retrouve l’essentiel.
Une vie loin des projecteurs
Peu bavard sur sa vie privée, Etchebest a toujours tenu à préserver le mystère autour de sa maison de cœur. Lors du confinement de 2020, il avait brièvement évoqué ce lieu secret lors d’une interview en visio : « On se coupe du monde… ici, je suis avec ma famille, et c’est tout ce qui compte. » Ces rares confidences dessinent le portrait d’un homme qui, derrière sa carrure imposante, aspire avant tout à la simplicité.
Une ferme comme ancrage
Plus qu’un pied-à-terre, cette maison est devenue pour lui un point d’ancrage. Une réponse naturelle aux exigences d’une carrière aussi exigeante que médiatisée. C’est là qu’il recharge ses batteries, qu’il reprend son souffle et qu’il se reconnecte à ce qui le nourrit vraiment : la nature, les siens, et la tranquillité.















