
Pierre Palmade : pourquoi il peine à vendre sa maison
Depuis son accident de voiture tragique en février dernier, Pierre Palmade tente en vain de vendre sa maison, située non loin de Paris. L’humoriste, dont la carrière a été brusquement perturbée par des événements dramatiques, se heurte à des difficultés inattendues pour se séparer de sa propriété.
L’incident qui a changé la donne
Le 10 février, Pierre Palmade, sous l’effet de la cocaïne, a provoqué un accident de voiture qui a gravement blessé quatre personnes, dont une femme enceinte, malheureusement décédée avec son bébé. Cette tragédie, qui a bouleversé la vie de nombreuses personnes, a aussi eu un impact profond sur la vie personnelle et professionnelle de l’humoriste. Aujourd’hui, il cherche à vendre sa maison située à Cély-en-Bière, en Seine-et-Marne, à environ 45 kilomètres de Paris, mais il n’arrive pas à trouver preneur.
Une maison de caractère
La maison de Pierre Palmade, achetée en 2017, est un bien d’exception. Construite en 1910, elle s’étend sur 360 m² et offre de nombreux espaces de vie. La propriété comprend six chambres, dont une suite parentale avec dressing, un salon spacieux, une bibliothèque, ainsi qu’une salle de billard et une salle de cinéma. À l’extérieur, un terrain de 3 571 m² complète cette demeure, avec une piscine chauffée, une grange de 40 m² et une maison d’amis de 70 m². De quoi séduire n’importe quel amateur de belles propriétés !
Des difficultés à vendre malgré la beauté du bien
Malgré les qualités indéniables de la maison, Pierre Palmade rencontre des difficultés à la vendre. Mise en vente à 1,36 million d’euros en février dernier, la propriété ne trouve toujours pas d’acheteur. Si la beauté du lieu pourrait théoriquement attirer des personnes intéressées, les récents événements entourant l’humoriste jouent un rôle majeur dans cette situation.
En effet, les problèmes judiciaires de Pierre Palmade, notamment sa mise en examen pour homicide et blessures involontaires, ont contribué à une perte de confiance auprès de potentiels acheteurs. De plus, la maison a été perquisitionnée par la police, puis cambriolée peu de temps après, ce qui a freiné davantage l’intérêt pour le bien. Dans ce contexte, il devient difficile pour l’humoriste de trouver un acheteur prêt à se lancer dans une telle acquisition, même si la maison reste un bien de prestige.
Ces événements montrent bien que, parfois, même une propriété exceptionnelle peut devenir un fardeau, notamment lorsque des circonstances personnelles et judiciaires viennent assombrir l’image de son propriétaire.















